Vancomycin Therapeutic Drug Monitoring: A Cross-Sectional Survey of Canadian Hospitals

Authors

  • Sarah C J Jorgensen University of Toronto, Toronto, Ontario
  • Mark McIntyre Sinai Health/University Health Network; University of Toronto, Toronto, Ontario
  • Jennifer Curran Sinai Health/University Health Network; University of Toronto, Toronto, Ontario
  • Miranda So Sinai Health/University Health Network; University of Toronto; Toronto General Hospital Research Institute, Toronto, Ontario

DOI:

https://doi.org/10.4212/cjhp.3337

Abstract

Background: Little is known about the current landscape of vancomycin therapeutic drug monitoring (TDM) in Canadian hospitals, which operate within publicly funded health care systems.

Objectives: To determine current TDM practices for vancomycin and associated challenges and to gather perceptions about TDM based on area under the concentration–time curve (AUC) in Canadian hospitals.

Methods: An electronic survey was distributed to hospital pharmacists in spring 2021 through multiple national and provincial antimicrobial stewardship, public health, and pharmacy organizations. The survey gathered data about hospital characteristics, TDM methods, inclusion criteria for patient selection, pharmacokinetic and pharmacodynamic targets, vancomycin susceptibility testing and reporting, and perceived barriers and challenges.

Results: In total, 120 pharmacists from 10 of the 13 provincial and territorial jurisdictions in Canada, representing 12.5% of Canadian acute care hospitals (n = 962), completed at least 90% of survey questions. The predominant TDM method was trough-based (107/119, 89.9%); another 10.1% of respondents (12/119) reported performing AUC-based TDM (with or without trough-based TDM), and 17.9% (19/106) of those not already using AUC-based TDM were considering implementing it within 1 to 2 years. Among hospitals performing trough-based TDM, 60.5% (66/109) targeted trough levels between 15 and 20 mg/L for serious infections with methicillin-resistant Staphylococcus aureus. One-quarter of the respondents using this method (27/109, 24.8%) agreed that trough-based TDM was of uncertain benefit, and about one-third (33/109, 30.3%) were neutral on this question. Multiple challenges were identified for trough-based TDM, including sub- or supra-therapeutic concentrations and collection of specimens at inappropriate times. Overall, 40.5% (47/116) of respondents agreed that AUC-based TDM was likely safer than trough-based TDM, whereas 23.3% (27/116) agreed that AUC-based TDM was likely more effective.

Conclusions: This survey represents a first step in developing evidence-based, standardized best practices for vancomycin TDM that are uniquely suited to the Canadian health care system.

RÉSUMÉ

Contexte : On connaît peu de choses sur le paysage actuel du suivi thérapeutique pharmacologique (STP) de la vancomycine dans les hôpitaux canadiens, dont les activités s’inscrivent dans le cadre des systèmes de soins de santé financés par les deniers publics.

Objectifs : Déterminer les pratiques actuelles de STP de la vancomycine et les défis associés et recueillir les perceptions concernant le STP sur la base de l’aire sous la courbe de la concentration en fonction du temps (ASC) dans les hôpitaux canadiens.

Méthodes : Un sondage a été distribué électroniquement aux pharmaciens d’hôpitaux au printemps 2021 par plusieurs organismes nationaux et provinciaux de gestion de l’utilisation des antimicrobiens, de santé publique et de pharmacie. Le sondage a permis de rassembler des données concernant les caractéristiques des hôpitaux, les méthodes de STP, les critères d’inclusion pour la sélection des patients, les objectifs pharmacocinétiques et pharmacodynamiques, les tests de sensibilité à la vancomycine et les rapports des résultats, ainsi que les obstacles et les défis perçus.

Résultats : Au total, 120 pharmaciens de 10 des 13 provinces et territoires du Canada, représentant 12,5 % des hôpitaux canadiens de soins actifs (n = 962), ont répondu à au moins 90 % des questions du sondage. La méthode de STP prédominante utilisée était celle de la concentration minimale (107/119, 89,9 %); un autre 10,1 % des répondants (12/119) ont déclaré effectuer un STP basé sur l’ASC (avec ou sans STP basé sur la concentration minimale), et 17,9 % (19/106) de ceux qui n’effectuaient pas déjà le STP basé sur l’ASC envisageaient de le mettre en œuvre d’ici 1 à 2 ans. Parmi les hôpitaux pratiquant le STP basé sur la concentration minimale, 60,5 % (66/109) ciblaient des concentrations minimales entre 15 et 20 mg/L pour les infections graves à Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline. Un quart des répondants qui utilisaient cette méthode (27/109, 24,8 %) convenaient que les avantages du STP basé sur la concentration minimale étaient incertains, et environ un tiers (33/109, 30,3 %) étaient neutres. De multiples défis ont été identifiés pour le STP basé sur la concentration minimale, notamment des concentrations sous- ou supra-thérapeutiques et la collecte d’échantillons à des moments inappropriés. Dans l’ensemble, 40,5 % (47/116) des répondants convenaient que le STP basé sur l’ASC était probablement plus sûr que le STP basé sur la concentration minimale, tandis que 23,3 % (27/116) convenaient que le STP basé sur l’ASC était probablement plus efficace.

Conclusions : Ce sondage représente une première étape dans l’élaboration de pratiques exemplaires normalisées et fondées sur des données probantes pour le STP de la vancomycine qui sont particulièrement adaptées au système de santé canadien.

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2023-05-01 — Updated on 2023-07-05

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