Vasopressin for Septic Shock in a Medical-Surgical Intensive Care Unit

Authors

  • Arpita Patel University of British Columbia
  • Arielle Beauchesne Accredited Canadian Pharmacy Residency program
  • Nina Bredenkamp Surrey Memorial Hospital
  • Rumi McGloin Surrey Memorial Hospital
  • Sarah N Stabler Surrey Memorial Hospital
  • Krystin Boyce Surrey Memorial Hospital

DOI:

https://doi.org/10.4212/cjhp.v73i3.2999

Keywords:

norepinephrine, vasopressin, intensive care unit, septic shock, norépinephrine, vasopressine, unité de soins intensifs, choc septique

Abstract

ABSTRACT

Background: Critically ill patients often need vasopressors to treat hypotension related to septic shock and to maintain adequate systemic perfusion. Although the 2017 guidelines of the Surviving Sepsis Campaign recommend norepinephrine as first-line therapy, they also state that vasopressin may be considered as an adjunctive agent for patients with refractory shock. Limited evidence is available for directing optimal administration of vasopressin. As such, prescribing practices are not standardized and may vary according to the particular clinician, the clinical scenario, and various patient-specific factors.

Objectives:To review the current practice of administering concomitant norepinephrine and vasopressin therapy to patients with septic shock, to describe variability in vasopressin administration, and to evaluate effects on patient safety in a medical-surgical intensive care unit (ICU).

Methods: This single-centre retrospective chart review involved 100 adult patients admitted to the ICU who received vasopressin and norepinephrine for septic shock between April and December 2017. The data were analyzed with descriptive statistics.

Results: The mean time to initiation of vasopressin was 12.0 (standard deviation [SD] 21.6) h after initiation of norepinephrine. The mean dose of norepinephrine at the time of vasopressin initiation was 29.5 (SD 19.7) μg/min. The mean vasopressin dose prescribed was 0.04 (SD 0.03) units/min, with a range of tapering and discontinuation regimens. The mean duration of vasopressin therapy was 49.1 (SD 65.2) h, and vasopressin was discontinued before norepinephrine in 49 of the patients. A total of 60 hypotensive events occurred after vasopressor discontinuation and were more common when vasopressin was discontinued before norepinephrine.

Conclusions: Vasopressin dosing was comparable to that reported elsewhere; however, discontinuation practices were inconsistent. These results show that variability in the literature supporting vasopressin use has led to variability in vasopressin administration and discontinuation practices; however, correlation with improvement in clinical outcomes, such as mortality or ICU length of stay, is unclear, and further research is required to determine the ideal approach to vasopressin use.

RÉSUMÉ

Contexte : Les patients gravement malades nécessitent souvent un vasopresseur pour traiter l’hypotension liée au choc septique et pour préserver une perfusion systémique adéquate. Bien que les directives de 2017 de la campagne Surviving Sepsis recommandent la norepinephrine en guise de thérapie de première ligne, elles précisent également que la vasopressine pourrait être envisagée comme agent d’appoint pour les patients présentant des chocs réfractaires. Seules des données probantes limitées soutiennent l’administration optimale de la vasopressine. Les pratiques de prescription proprement dites ne sont pas standardisées et peuvent varier selon le clinicien, le scénario clinique et les divers facteurs particuliers au patient.

Objectifs : Examiner la pratique actuelle d’administration de la norépinephrine concomitante à la thérapie de vasopressine aux patients ayant subi un choc septique, décrire la variabilité d’administration de la vasopressine et évaluer les effets sur la sécurité du patient dans une unite de soins intensifs (USI) médicale-chirurgicale.

Méthodes : Cet examen rétrospectif unicentrique des dossiers portait sur 100 patients adultes admis dans une USI, ayant reçu de la vasopressine et de la norépinephrine en réponse à des chocs septiques entre avril et décembre 2017. Les données ont été analysées à l’aide de statistiques descriptives.

Résultats : Le temps moyen du début de l’administration de la vasopressine était de 12 h (écart type [É.T.] 21,6) après le début de l’administration de la norépinephrine. La dose moyenne de norepinephrine au moment du début de l’administration de la vasopressine était de 29,5 (É.T. 19,7) μg/min. La dose moyenne de vasopressine prescrite était de 0,04 (É.T. 0,03) unités/min, avec une gamme de posologies dégressives et d’abandons. La durée moyenne de la thérapie à la vasopressine était de 49,1 h (É.T. 65,2), et 49 patients ont abandonné la vasopressine avant l’abandon de la norépinephrine. Un total de 60 événements hypotenseurs se sont produits après l’abandon du vasopresseur et ils étaient plus fréquents lors de l’abandon de la vasopressine précédant celui de la norépinephrine.

Conclusions : Le dosage de vasopressine était comparable à celui indiqué dans d’autres études; cependant, les pratiques d’abandon étaient incohérentes. Ces résultats démontrent que l’indétermination de l’information publiée dans la littérature soutenant l’utilisation de la vasopressine a entraîné une fluctuation dans l’administration de la vasopressine et des pratiques d’abandon; cependant, la corrélation entre l’usage de la vasopressine et l’amélioration des résultats cliniques, comme la mortalité ou la durée du séjour en USI, n’est pas claire, et davantage de recherches sont nécessaires pour déterminer l’approche idéale à adopter à l’égard de l’utilisation de la vasopressine.

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Published

2020-06-25

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Section

Original Research / Recherche originale